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MOULAGE EN MÉTAL. ol

(Qg. 34) est muni de trous pour se relier à la partie inférieure.
Le modèle à mouler se place au centre de la partie infé-
rieure de l'anneau, de telle sorte que le point le plus élevé
des parties rentrantes arrive au môme niveau que le sommet
du cercle; puis on l'entoure de sable jusqu'au niveau de
l'anneau, comme le montre la figure 35, en laissant le palais à
découvert. La portion supérieure de l'appareil s'ajoute en-

Fig. 35.

suite sur la première (on commence par saupoudrer la
surface de sable avec de la craie pour prévenir l'adhé-
rence), et l'on achève de remplir le tout de sable jusqu'au
niveau supérieur de l'anneau. Cela fait, on peut enlever
l'anneau supérieur complet et retirer l'une des goupilles du
cercle inférieur pour ouvrir les compartiments, et extraire le
modèle; puis fermant de nouveau tout l'appareil, on le
retourne sens dessus dessous, et l'on y coule le métal comme

avec un moule ordinaire. Pour les modèles de la mâchoire
inférieure, quand il existe des dépressions aux angles du
maxillaire et à la partie postérieure des dents antérieures
en surplomb, il vaut mieux commencer par remplir de cire
ces parties rentrantes pour les façonner ensuite avec une
échoppe après le moulage et tandis que le métal est encore mou.
Il est une autre méthode pour couler les matrices et les
contre-moules; elle a été proposée par le docteur Franklin et
se trouve décrite dans la « Mechanical Dentistry » du docteur
Richardson, dans les termes suivants :
«Je prends avec du plâtre toutes les empreintes, complètes et