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VULCAN1TE.
server la ligne d'union aussi fidèlement que possible pour que,
la pièce une fois terminée n'offre pas une apparence bigarrée.
11 importe de commencer toujours le tassement à la partie
qui tendra à maintenir les dents le plus fermement en position
et dans la plupart des cas ce sera en bas et tout près des
broches des dents, comme on le voit figure 84. Lorsqu'on juge
i _ . s i
qu'il y a assez de caoutchouc pour remplir complètement le
moule, on le met dans la presse adaptée à une cuvette em-
ployée pour la base celluloïde (fig. 85); celle-ci contient de
l'eau bouillante dont on entretient la température à l'aide de
la lampe à alcool ou du gaz ; alors on ferme graduellement le
moufle dans les limites où on peut le faire sans trop de pres-
sion, puis on le retire de la presse, on le plonge une minute
dans l'eau froide et on l'ouvre; s'il n'y apas assez de caoutchouc,
on en ajoute ; s'il y en a un excès, comme il faut que cela soit,
on creuse tout autour de la pièce des gouttières, comme le
montre la figure 84; ces sillons permettront au superflu du
caoutchouc de s'écouler quand on soumettra de nouveau
le moufle à l'action de la presse, de façon à pouvoir fermer
l'appareil hermétiquement.
VULCAN1TE.
server la ligne d'union aussi fidèlement que possible pour que,
la pièce une fois terminée n'offre pas une apparence bigarrée.
11 importe de commencer toujours le tassement à la partie
qui tendra à maintenir les dents le plus fermement en position
et dans la plupart des cas ce sera en bas et tout près des
broches des dents, comme on le voit figure 84. Lorsqu'on juge
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qu'il y a assez de caoutchouc pour remplir complètement le
moule, on le met dans la presse adaptée à une cuvette em-
ployée pour la base celluloïde (fig. 85); celle-ci contient de
l'eau bouillante dont on entretient la température à l'aide de
la lampe à alcool ou du gaz ; alors on ferme graduellement le
moufle dans les limites où on peut le faire sans trop de pres-
sion, puis on le retire de la presse, on le plonge une minute
dans l'eau froide et on l'ouvre; s'il n'y apas assez de caoutchouc,
on en ajoute ; s'il y en a un excès, comme il faut que cela soit,
on creuse tout autour de la pièce des gouttières, comme le
montre la figure 84; ces sillons permettront au superflu du
caoutchouc de s'écouler quand on soumettra de nouveau
le moufle à l'action de la presse, de façon à pouvoir fermer
l'appareil hermétiquement.