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Dentiste. 257
ferme par fa partie oppofée à la niême
|i charnière , au moyen d'une vis qui s'cn-
gage dans la branche du chevalet.
I
' L'extrémité de l'arbre où l'on engage
j le foret, eft divifée en deux pièces :
ces pièces font de huit à neuf lignes
de longueur : l'une de ces pièces eft
arrachée à l'arbre au moyen d'une vis
,
& par conféquenc en peut être orée
quand on le veut : l'autre efl prifç
dans le corps de l'arbre même , & ainfi
n'en peut être féparée : la plus courte
de ces deux pièces a un tenon arrondi
dans la partie inférieure de fa face
intérieure : ce tenon eft en manière
de cheville, pour s'engager dans un
trou proportionné à fa grolfeur, qui
eft à la partie inférieure de l'entaille
de la grande pièce : fur cette grande
pitce eft polée la pièce qui eft la plus
courte : ces deux pièces unies enfemble
jont percées à jour, à une ligne près
de la cheville de la petite pièce : ce
trou fert à laiiTer paHcr une petite vis,
qui joint les deux pièces l'une contre
r.uitre, & qu'on ferre autant qu'il eft
nécellaire : l'éguille qui doit fervir à
former le foret, fe met entre les deux,
^ elle s'y loge par une petite rainure
cui règne tout le long du milieu de
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