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LoiTque l'une ou l'ancre mâchoire
n'a au-devant de la bouciie, à undefescotés^ qu'une, deux ou trois
dencs; foit qu'elles foient contigues,
ou qu'il \y en ait quelqu'une d'ôtée en-
rr'elles, on peut néanmoins mettre
y
une pièce entière de dents artificiel-
les, {a) pourvu qu'on fafle vis-à-vis de
chaque dent naturelle des entailles pra-
tiquées dans l'épailTeur de la pièce iur
fa face extérieure, 6c que l'on forme à
,côié de ces entailles , des dents qui imi-
tent les dents naturelles dont elles occu-
pent la place.
La pièce artificielle étant ajuflée,
il faut la percer pour l'arrêter fur la gen-
cive, en l'attachant aux dents voifmes.
Par exemple, s'il n'y a qu'une dent na-
turelle, ou qu'il y en ait plufieurs de
féparées parla chute de leurs voifmes,
on fait deux trous à la furface plate de
rchaque entaille près de les encognures.
Ces trous commencent dans l'entaille
à la face extérieure de cette pièce le
,plus près de la gencive qu'il efl pofTible :
ces mêmes trous, en s'approchant l'un
de l'autre par un trajet oblique , forcent
6c l'on introduit
à la face intérieure ,
{a) VoytT. la {îgure z de la planche^'3 5 de ce
lome page 157.
,
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